Décidément, nos fins de saison sont aussi excitantes que celees des Canadiens.
Sauf que, chez nous, on ne joue pas avec l'énergie du désespoir mais celle de l'espérance (je ne sais pas très bien ce que je veux dire mais c'est joli).
Pour celles et ceux présents, un petit festin de grands morceaux.
Fallait voir Olivier (étoile du match) réponde à une lettre envoyée par sa blonde comme s'il était prisonnier à Guantanamo.
Fallait voir Martin en chat ayant plusieurs vies.
Fallait voir Jean-Pierre en René Angélil.
Fallait voir François Tarrab en prêtre vaudou.
Et pusieurs petits bijoux d'impros tout au long de cette soirée.
À ce rythme, va falloir prolonger la saison.
Tiboude Bobby